Mr. Ivanov

Une voiture de se modèle, vitre teintée se gare sur une place de parking devant l'Agora à la tombée de la nuit. En sortent 4 personnes, aucun doute... à la vue de leur Ounchanka pour certains, et en particulier, un chapeau militaire orné du symbole de l'URSS dessus.

Deux hommes habillés proprement, très classe, lunettes de soleil et rictus de mise pour le groupe.
L'homme au chapeau militaire est armé jusqu'aux dents. Il se présentent aux gardes de l'Agora.


[i]

Bonsoir Messieurs. *avec un accent russe* J'ai ici une lettre de recommandation du prince de Grozny de Tchétchénie. Mr Lucien, nous a demandé de venir. Nous voici donc. Je suis Mr Ivanov. Enchanté.

Lucien sortit de l'Agora d'un pas précipité et impatient comme un enfant allant ouvrir ses cadeaux de noël. Il dévisagea pendant un cours instant son vieux camarade.
Se frayant un passage à travers les gardes il arriva tout juste devant le museau de Nicolai.

Lucien : Tu as meilleurs mine qu'a notre dernière beuverie mon vieux camarade.

Nicolaï eût alors une moue, un peu géné Il semble que tu ai gardé les séquelles de la dernière beuverie, Camarade. Ton odeur parle pour toi, pas besoin de me dire qui tu as rejoins. Quoi que je t'aurais bien vu plus tôt Malkavien. Enfin, passons. Nous devons voir le Prince. Ensuite, mise au point par rapports aux évènements. Tu te rappelle des procédures?.

Je m'en rappel bien , *Lucien regarda les autres avec un signe de tête amical en guise de salut*.
Il vaut mieux que tu viennes seul , et un peu moins armé le Prince est d'une humeur massacrante depuis quelques jours *lève sa main droite portant le platre* et il vaut mieux éviter de le mettre en colère.

Allons suis moi camarade.

Agora (section)

Victor regardait l'uzi que venait de lui fourguer dans la pogne Nicolai. Il avait l'air sceptique.

Ça pas êtrrre accueil pourr Rrrusse.
Manquer beaucoup trrrop Vôdka.

Eux pas corrrrrectement civilisé. Nous devoirrr leur apprrrendrrrre les bônnes manièrrres.

Posant l'uzi sur la plage arrière du tout terrain, il saisit une guitare et en un seul geste, la cale sous son coude et se met à grattouiller un air mélancolique au forte sonorité slave.